J’ouvre le livre de Mathilde Girard, « Un personnage en quête de sublimations ».
Il fait partie de la collection Connaissance de l’inconscient,
Série : Le principe de plaisir, chez Gallimard.
Je lis le préambule.
« Le principe de plaisir : la pensée désirante, la perception hallucinée, le rêve de la nuit, la rêverie diurne suivent la pente du moindre déplaisir – sur ce principe fonctionne l’esprit. Lorsqu’il se heurte au principe de réalité et à son exigence, le principe de plaisir cherche un compromis. Les deux font la paire en s’opposant, en s’associant.
Et si écrire et lire relevaient du principe de plaisir ? Cette collection invite l’auteur, qu’il soit écrivain, spécialiste des sciences humaines ou psychanalyste, à redécouvrir les intuitions créatrices de Freud et de ses successeurs, à s’y confronter, à y trouver son propre compromis, son propre conflit. Elle convie le lecteur au partage qui est le lieu du plaisir et de la réalité. »
La pensée désirante…
et voilà, je navigue à vue…
*
Bennani
Jaloux de vos lectures riches et hétéroclites. Le désir nous par les tripes et on s’investit sans ménagement. Pas de culpabilité, c’est le lâcher prise. Mais il y’a trop sonne d’interet on est submergé et le plaisir n’ est plus là. On ne goûte pas on avale.